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Le HCC s'insurge contre la montée fulgurante de la désinformation sur les réseaux sociaux

José Richard Pouambi, Président du HCC
José Richard Pouambi, Président du HCC

À quelques mois des échéances électorales qui se pointent à l'horizon, la République centrafricaine fait face à une montée fulgurante de la désinformation, et des ppels à la haine et la violence sur les réseaux sociaux.


Alors que le pays est de plein pied dans la période pré-électorales avec le processus conduisant vers les élections locales et régionales déjà enclenché, une vague de messages de haines et de violence mettent à mal les efforts de consolidation de la paix dans le pays.


Le phénomène de la désinformation et des appels intempestifs à la haine et la violence, orchestré par un groupuscule d'agents à la solde d'hommes politiques créent un climat de d'inquiétude et grise les efforts de la paix.


Selon le haut conseil de communication (HCC), ces communicants qui brillent dans la désinformation, les appels à la haine et la violence sont connus et nombre d'entre eux sont à la solde de certaines personnalités politiques.


Dans un communiqué signé le lundi 28 avril, le président du Haut Conseil à la Communication monsieur José Richard Pouambi dénonçait ces actes qui selon lui, empoisonnent le climat sociopolitique du pays, durant cette période pré-électorale.


Il appelle les autorités judiciaires à interpeller certaines personnalités politiques et communicants qui se cachent derrière les comptes avatars pour discréditer les autorités dûment étables, et certains compatriotes qui en font les frais.


Le régulateur José Richard Pouambi en a profité pour appeler les professionnels des médias au respect scrupuleux des règles de déontologie et d'éthique, guidant ainsi l'exercice du métier au sein de la corporation.


Depuis 2017, la République centrafricaine fait face à une montée en puissance des réseaux de diffusion de fausses nouvelles et de messages de haines sur les réseaux sociaux comme Facebook et WhatsApp. Le Haut Conseil à la Communication et des Associations de presses se mobilisent régulièrement pour lutter contre ce phénomène.


 
 
 

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